dropshipping ou affiliation, que choisir ?

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Dans cet article ultra-complet, je te dévoile tous mes secrets d’entrepreneur web pour t’aider à faire un choix éclairé. Je vais t’expliquer les points communs entre ces deux modèles économiques, leurs différences, leurs avantages et inconvénients… et même les combiner si ça te tente !

À travers mes anecdotes perso, mes erreurs de débutant et mes réussites, je vais te partager les astuces qui m’ont permis de générer des revenus sur Internet sans m’arracher les cheveux. Prends quelques minutes pour plonger dans mon expérience : tu ne verras plus jamais le dropshipping ou l’affiliation de la même façon.

Tu découvriras ce qu’il faut absolument faire (et ne PAS faire), les stratégies pour éviter la concurrence féroce, et des conseils pour te démarquer. Et si tu es prêt(e) à passer à l’action, je t’offre aussi un tutoriel concret pour déployer tes idées dès maintenant. Allez, on y va !

Sommaire

Mon ami, je sais exactement ce que c’est de vouloir se lancer sur le web et de sentir son cerveau bouillonner devant mille opportunités différentes.

Quand j’ai démarré, je me suis d’abord planté plusieurs fois, incapable de choisir entre affiliation ou dropshipping. J’avais lu dix mille articles, regardé des vidéos de gens qui promettaient monts et merveilles, sans jamais vraiment aborder les aspects concrets. Résultat : j’ai lancé un premier site en affiliation… qui ne m’a rapporté que des cacahuètes.

Pourquoi ? Parce que je ne savais pas qu’il fallait optimiser mes contenus pour ranker sur Google, développer une vraie relation avec mon audience ou encore structurer mes liens d’affiliation. Je me souviens aussi d’avoir fait un test en dropshipping sans aucune étude de marché. Autant te dire que j’ai fini par brader mes quelques ventes dans le vent, tout ça pour trois pauvres euros de marge.

Alors aujourd’hui, je tiens à éviter que tu ne commettes ces mêmes erreurs. Je veux te montrer, de façon simple et honnête, comment choisir entre dropshipping ou affiliation et comment tirer le meilleur de chacun. Allez, installe-toi confortablement et suis-moi pas à pas dans cette aventure !

Les enjeux derrière dropshipping et affiliation : ce que tu dois absolument savoir

Je me souviens précisément de la fois où j’ai découvert ce modèle : j’étais bluffé de voir que je pouvais proposer des articles sur ma boutique sans avoir un seul carton dans mon garage. On travaille avec des fournisseurs qui envoient eux-mêmes la marchandise au client final. Du coup, tu n’avances pas tes frais, tu n’as pas d’entrepôt, et tu gagnes du temps pour te consacrer au marketing, au SEO, ou à la création de ta marque.

Super, non ? Mais l’affiliation, c’est tout aussi alléchant : tu parles d’un produit, tu places un lien tracking (souvent unique) dans ton contenu (blog, newsletter, YouTube, etc.), et à chaque vente générée grâce à toi, tu touches une commission. Pas de SAV, pas d’envois, pas de retours à gérer. En théorie, c’est le rêve.

Mais attention : dans la vraie vie, affiliation et dropshipping sont deux routes différentes, chacune avec ses pièges, ses besoins, et ses stratégies. Je t’en parle plus en détail dans les sections suivantes, pour que tu puisses peser le pour et le contre avant de foncer.

dropshipping ou affiliation sur un business en ligne.

Les atouts du dropshipping (et ses points faibles)

J’étais trop excité à l’idée de n’avoir rien à stocker chez moi (j’avais à peine la place pour un canapé dans mon appart !). J’ai rapidement compris que, malgré sa facilité de démarrage, ce business modèle ne se fait pas les doigts dans le nez. Comme tout commerce, il faut dénicher les bons fournisseurs, gérer la relation client, et faire face à une concurrence souvent féroce.

Les arguments qui font rêver

  1. Frais de départ minimalistes : Pas besoin de gros capitaux, il suffit d’un site et d’un accord avec un ou plusieurs fournisseurs. Et bim, tu mets en vente tes produits, ni vu ni connu.
  2. Logistique hyper-simplifiée : Plus besoin d’emballer chaque commande dans ton salon. C’est le fournisseur qui expédie, tu gagnes du temps et tu évites les prises de tête liées aux livraisons.
  3. Flexibilité : Tu peux tester plusieurs gammes de produits et réagir vite si un article ne marche pas. J’ai moi-même retiré de la vente certains gadgets qui ne se vendaient pas et ai ajouté d’autres articles plus trendy.
  4. Liberté de prix : Tu fixes tes marges. Si tu estimes qu’un produit peut se vendre plus cher, libre à toi, tant que tu restes cohérent avec le marché.

Les inconvénients qui font grincer des dents

  1. Marge parfois limitée : À moins d’être un as du marketing ou de proposer des produits rarement vendus ailleurs, tu vas vite te retrouver en concurrence avec d’autres dropshippers. Résultat ? Les marges peuvent être rikiki.
  2. Contrôle restreint sur le packaging et la livraison : J’ai souvenir d’un client qui m’a écrit en colère parce qu’il avait reçu son produit dans un emballage abîmé, alors que c’était la faute du fournisseur. Ça peut te porter préjudice.
  3. Concurrence élevée : Surtout sur des plateformes comme AliExpress où tout le monde veut vendre le même sweat à capuche “cool” ou le même gadget de cuisine que toi… Il faut être créatif pour se démarquer.
  4. Gestion client : Eh oui, en dropshipping on est obligé de répondre aux questions, gérer les plaintes, rassurer sur le délai de livraison, etc. Ce n’est pas du 100% passif !

D’ailleurs, si tu veux démarrer vite et bien, il existe des solutions comme Dropizi, qui te permet de configurer ta boutique en quelques clics et te propose plein de fonctionnalités sympas : upsell, relance de paniers, mono-produit, et bien plus. J’ai rencontré leur team une fois : ils sont super disponibles et proposent même des formations, de la business-coaching, et des tutoriels. Pour débuter, c’est un bon plan pour éviter de se noyer dans la technique.

Les spécificités de l’affiliation : liberté ou dépendance ?

Maintenant, regarde l’autre facette de la médaille : l’affiliation.

Quand j’ai découvert l’affiliation, j’étais séduit par l’idée du revenu passif. Tu places un lien d’affiliation, tu crées un contenu qui cartonne en SEO, et tu regardes les commissions tomber… Sur le papier, c’est idyllique. Dans la pratique, tu dépends de plateformes (comme Amazon, ClickBank, Awin, Rakuten, ShareASale, etc.) ou de programmes dédiés. Et ce n’est pas toujours stable : du jour au lendemain, un partenaire peut changer ses taux de commission ou retirer son programme.

Les points ultra-positifs

  1. Zéro logistique : Je t’assure, c’est la libération. Pas d’envoi, pas de stock, pas d’espace à louer. Tout est géré par la marque ou le fabricant que tu recommandes.
  2. Revenus passifs : Ça m’est arrivé d’écrire un article de blog ou de poster une vidéo YouTube, et de toucher des commissions pendant plusieurs mois après. Le top si ton contenu est bien référencé !
  3. Pas de SAV : Une fois que la personne achète via ton lien, c’est terminé pour toi. Si elle a un souci, elle s’adresse au vendeur, pas à toi.
  4. Coût de démarrage proche de zéro : Un hébergement web, un nom de domaine, et quelques outils pour te lancer. C’est beaucoup plus léger, financièrement parlant.

Les petits (ou gros) défauts

  1. Démarrage parfois long : Pour générer de vrais revenus, il faut créer du bon contenu, développer ton SEO, gagner la confiance de ton audience. Ça ne se fait pas en une semaine.
  2. Forte dépendance : Tu es tributaire des programmes d’affiliation. Par exemple, s’ils décident de passer de 10 % à 5 % de commission du jour au lendemain, tu ne peux qu’encaisser.
  3. Besoin de visibilité : Sans trafic, sans communauté, pas de ventes. Tu dois donc être à l’aise en marketing de contenu, SEO, réseaux sociaux ou pub pour percer.
  4. Tracking imparfait : Il peut arriver que le lien d’affiliation soit mal tracké ou que le client supprime le code d’affiliation. Et là, tu perds des ventes sans même t’en rendre compte.

Perso, quand je me suis mis à l’affiliation, j’ai choisi une niche ultra-spécifique (une passion que j’avais pour la photo) et j’ai pu parler d’objectifs, d’accessoires, etc. Les lecteurs voyaient ma sincérité et mon expertise, donc ça convertissait plutôt bien. Mais j’ai quand même dû patienter plusieurs mois avant de voir le décollage. Aujourd’hui, pour ceux qui veulent tester l’affiliation en e-commerce, un outil comme Evolup peut s’avérer pratique. Il utilise l’intelligence artificielle pour rédiger rapidement des descriptions produits, des pages web et accroître le référencement. En prime, ils ont une équipe sympa de coachs qui t’accompagnent. Pour 10€ par mois, j’avoue que ça m’aurait bien facilité la vie à l’époque !

Dropshipping vs affiliation : en quoi c’est comparable ?

Dis-toi bien que les deux modèles — dropshipping et marketing d’affiliation — reposent sur une idée commune : vendre quelque chose sur Internet sans (ou avec très peu de) stock.

Ils permettent tous les deux de démarrer vite et de se lancer avec un minimum de risques financiers. Quand j’ai débuté, je me suis justement rendu compte qu’il est possible de faire dropshipping et affiliation en même temps. Par exemple, j’avais un blog autour des ustensiles de cuisine, et en plus de vendre mes propres produits via un système de dropshipping, je glissais quelques liens d’affiliation (vers des produits que je ne proposais pas dans ma boutique). C’est top pour varier tes sources de revenus.

Bref, l’idée générale est qu’en quelques semaines, tu peux avoir une boutique dropshipping, un blog, et des programmes d’affiliation qui tournent. À terme, tu peux même créer une petite marque blanche en dropshipping, commencer à personnaliser tes produits, et booster ta crédibilité. Bref, c’est un terrain de jeu infini.

Comparaison synthétique : dropshipping vs. affiliation

Voici un tableau rapide pour te montrer, en un coup d’œil, les différences notables :

CritèreDropshippingAffiliation
Définition du businessVendre des produits sans stock, supplier gère la logistiquePromouvoir des produits/services en échange d’une commission
Investissement initialFaible, mais nécessite site e-commerce et budget pub (souvent)Quasi nul, surtout si tu te concentres sur le SEO ou le marketing organique
Contrôle sur le produitPartiel (packaging, SAV, etc. dépendent beaucoup du fournisseur)Aucun, le produit appartient à la marque
ConcurrenceParfois rude, surtout si tu vends des produits très communsTout dépend de ta niche et de la popularité de l’affilieur
RevenusBasés sur la marge (prix de vente – prix fournisseur)Basés sur une commission (fixe ou pourcentage de vente)
Relation clientTu gères le service client et la réputation de ta boutiqueC’est la marque qui s’en occupe
ÉvolutivitéPeut devenir un vrai e-commerce (marque propre, branding)Plus tu attires de trafic, plus tes revenus s’envolent (contenu + SEO)
Liberté de pricingTu décides des prix (attention à ne pas être trop cher ou trop bas)Fixés par la marque, tu ne peux pas les modifier

En regardant ce tableau, tu te demandes peut-être : est-ce que l’affiliation est mieux que le dropshipping ? Ou est-ce que c’est l’inverse ? Franchement, la réponse dépend surtout de tes objectifs et de ton tempérament. Tu préfères un contact direct avec le client, gérer ta marque et avoir des revenus potentiellement plus gros à terme ? Va sur le dropshipping. Tu veux bosser en fond, sans t’occuper du SAV ? L’affiliation sera plus paisible.

Mes conseils pour ne PAS reproduire mes erreurs

J’ai commis plein d’erreurs, aussi bien dans l’un que dans l’autre modèle. Laisse-moi t’en épargner quelques-unes (et épargner tes nerfs).

  1. Ne pas faire d’étude de marché Je me souviens de mon tout premier site en dropshipping : j’ai vendu des t-shirts pour chiens… alors que j’y connaissais rien, et que je n’avais pas de cible précise. J’ai balancé des annonces Facebook au pif. Bilan ? Zéro. Donc, avant tout lancement, prends le temps d’évaluer la demande, la concurrence, et la marge possible.
  2. Sous-estimer l’importance du référencement naturel Que ce soit en affiliation ou en dropshipping, le SEO est un levier phénoménal. Au début, je pensais qu’un joli site suffirait, mais en fait, sans un minimum de référencement, ton audience sera aussi inexistante qu’une oasis dans un désert. Plante quelques mots-clés spécifiques, structure ton site, choisis des titres accrocheurs.
  3. Mal choisir ses fournisseurs (pour le dropshipping) Crois-moi, un fournisseur qui met 3 semaines à expédier un produit, ça va te valoir des critiques assassines en ligne, des clients mécontents, et beaucoup de stress. Fais des tests, vérifie la qualité et les délais avant de signer.
  4. Négliger l’image de marque Tu peux faire du dropshipping et de l’affiliation tout en soignant ton branding. Fais en sorte que ton site ait un look pro, un logo sympa, et un ton cohérent. Les clients et lecteurs adorent s’identifier à une marque (ou à une personne). C’est un facteur de confiance et de fidélisation.
  5. Oublier de faire grandir ta liste email C’est crucial en affiliation comme en e-commerce. Ta newsletter est un canal privilégié pour partager tes promos, tes nouveaux produits ou liens d’affiliation. Sans parler du fait que c’est un asset hyper important : pas de dépendance totale à Google ou Facebook.

Et toi, de ton côté, tu as déjà fait une de ces erreurs ou tu te prépares à y échapper ? Dans tous les cas, n’hésite pas à te poser la question : “Comment je peux rendre mon business unique ?” C’est la clé pour sortir du lot.

Mini-guide d’action : comment te lancer pas à pas

Je vois souvent des personnes qui disent : “OK, je suis motivé, mais concrètement, je fais quoi ?” Allez, je te partage un tutoriel en 5 étapes pour les deux modèles, que tu souhaites faire un mix dropshipping & affiliation ou que tu veuilles te spécialiser dans l’un uniquement.

Étape 1 : Choisis ta niche et ta stratégie de monétisation

– Identifie une passion ou un domaine avec un potentiel commercial (ex. : déco intérieure, produits pour animaux, compléments alimentaires, etc.). – Vérifie s’il existe des programmes d’affiliation intéressants ou des fournisseurs dropshipping fiables. Regarde si la niche est saturée ou pas. – Décide si tu veux te concentrer sur la vente de produits physiques (dropshipping) ou sur la recommandation d’articles ou de services (affiliation). Tu peux aussi faire un combo, mais fixe-toi d’abord une priorité.

Étape 2 : Crée ta plateforme en ligne (blog, boutique, chaîne YouTube, etc.)

– Pour le dropshipping, monte une boutique via Dropizi, Shopify, WooCommerce, etc. Si tu utilises WordPress, un plugin comme “Aliexpress affiliates dropship for Woocommerce” (nulled ou officiel) peut t’intéresser, mais attention à la sécurité. – Pour l’affiliation, fais un blog (WordPress, Webflow…) ou une chaîne YouTube. Le blog peut être optimisé SEO (structuration H1, H2, maillage interne, etc.). – Soigne le design et l’ergonomie. Regarde des templates pros ou fais appel à un freelance si besoin. On n’a qu’une seule première impression !

Étape 3 : Sélectionne tes produits ou tes programmes d’affiliation

– En dropshipping, tu peux t’appuyer sur des marketplaces (AliExpress, CJ Dropshipping, BrandsDistribution, BigBuy…), ou conclure directement avec un fournisseur local si tu veux des délais plus courts. – En affiliation, inscris-toi sur des plateformes réputées (Awin, Rakuten, Amazon, ShareASale) ou sur le programme d’affiliation d’une marque que tu aimes. Parfois, créer un compte partenaire se fait en deux clics. – Vérifie le taux de commission, les retours clients, la fiabilité logistique. N’oublie pas de lire les règles du programme (certains interdisent l’emailing, d’autres imposent un seuil de vente minimal).

Étape 4 : Crée ton contenu et ton marketing

Affiliation : rédige des articles comparatifs, des guides détaillés, des tutoriels. Par exemple, “Comment choisir une cafetière à piston ?” et glisse ton lien d’affilié vers le produit que tu recommandes. – Dropshipping : mets en place des fiches produits persuasives (texte accrocheur, photos, avis). Lance des campagnes Facebook Ads ou Google Ads en ciblant les bons mots-clés. – Dans les deux cas, mise sur l’Email Marketing (newsletter, séquences automatiques) pour développer une relation solide avec tes prospects.

Étape 5 : Analyse et optimise constamment

– Suis tes ventes et tes stats via Google Analytics, ton back-office de boutique ou ta plateforme d’affiliation. – Améliore tes mots-clés, fais des tests A/B sur tes pages, change ton CTA (Call-to-Action) si besoin. – Si tu es en dropshipping, surveille les délais de livraison et la satisfaction client. Si tu fais de l’affiliation, teste de nouvelles bannières ou de nouveaux formats de contenus. – N’oublie pas : ce n’est jamais figé. Ton site et tes stratégies évoluent avec le marché et l’algorithme de Google.

Comment se référencer et trouver des ressources pratiques

Tu as désormais un plan d’action. Mais pour aller plus loin et t’inspirer, voici quelques sites de référence que j’ai dévorés à mes débuts :

  1. Shopify Blog : Plein d’articles concrets sur le e-commerce, le dropshipping, le SEO.
  2. Smart Passive Income : Un blog (en anglais) axé sur l’affiliation, la création de contenu, et le concept de revenus passifs.
  3. WiziShop / Dropizi : Le site officiel, avec une tonne de guides et de tutos en français.
  4. Awin : Pour voir un exemple de plateforme d’affiliation, t’inscrire à des programmes variés.
  5. ClickBank : Beaucoup de produits (souvent des ebooks, des formations), idéal pour se lancer dans l’affiliation en anglais.

Si tu maîtrises l’anglais, jette aussi un œil sur certains forums Reddit : “affiliate marketing vs dropshipping reddit” est un sujet récurrent avec des retours d’expérience en direct. Tu peux y poser tes questions. Faire de la combining dropshipping and affiliate marketing n’est pas une utopie. Certains entrepreneurs cumulent les deux avec succès.

conclusion : alors, c’est quoi le meilleur pour toi ?

Moi, je voulais la liberté de créer ma marque, d’offrir des produits à mon image, et d’avoir un contact direct avec ma clientèle. C’est pour ça que je me suis attaché au dropshipping en premier lieu. Mais j’ai aussi adoré la tranquillité d’esprit de l’affiliation (où j’ai juste à produire du contenu), surtout quand j’ai compris comment bien référencer mes articles et vidéos. En clair, je te recommande, si tu as le temps et l’envie, de tester les deux. Et si tu as besoin de résultats plus rapides ou que tu veux absolument gérer ton produit, oriente-toi d’abord vers le dropshipping. Si par contre, tu préfères un modèle plus “passif” et que tu aimes écrire ou faire des vidéos, fonce sur l’affiliation.

N’oublie pas qu’Amazon FBA vs dropshipping vs affiliation sont aussi des choix qui se complètent parfois (certains vendent sur Amazon tout en ayant leur propre boutique dropshipping et en faisant aussi de l’affiliation). Donc, pas besoin de te priver ! L’essentiel est de te lancer avec méthode, de bosser sérieusement ton SEO et ton marketing, puis de persévérer même quand tu as des hauts et des bas. Mon dernier petit conseil : soigne ta relation client en dropshipping, soigne ta valeur ajoutée quand tu fais de l’affiliation, et tu verras, ça finira par payer !

FAQ

Comment savoir si l’affiliation est plus rentable que le dropshipping ?

Pour être honnête, tout dépend de ta niche, de ton audience et de tes compétences en marketing. L’affiliation peut devenir très rentable si tu as un gros trafic ou une communauté très engagée. Tes seuls coûts sont alors liés à la création de contenu, au SEO ou à la publicité si tu en fais. Le dropshipping, lui, peut générer des profits plus élevés par vente, mais demande plus de travail opérationnel (SAV, suivi des fournisseurs, etc.). Donc, il n’y a pas de réponse unique : c’est surtout un choix basé sur ton style de travail.

Peut-on faire de l’affiliation et du dropshipping en même temps ?

Oui, c’est même un excellent moyen de diversifier tes revenus. Par exemple, tu peux avoir un blog où tu fais la promotion de certains produits via des liens d’affiliation, tout en proposant d’autres articles sur ta propre boutique dropshipping. L’important est de rester cohérent dans la thématique et de ne pas noyer ton audience sous trop d’offres différentes.

Quelle est la différence entre affiliation et dropshipping ?

En affiliation, tu recommandes un produit ou un service et tu touches une commission quand la vente est conclue. Tu n’as pas à gérer de stock ni d’expédition. En dropshipping, tu vends toi-même un produit (via ta boutique) sans le stocker. Ton fournisseur s’occupe de l’envoi au client final, mais tu dois gérer la relation client, fixer les prix et t’occuper du SAV.

Quel budget minimum faut-il pour se lancer en dropshipping ?

Ça dépend de ta plateforme et de ton mode de promotion. Techniquement, tu peux commencer avec quelques dizaines d’euros (hébergement, nom de domaine, thème gratuit), mais la réalité est qu’il te faudra un budget pub (Facebook Ads, Google Ads) ou au moins du temps pour faire du SEO et apporter du trafic. Table plutôt sur quelques centaines d’euros au démarrage si tu comptes utiliser la publicité, pour tester et ajuster tes campagnes.

L’affiliation est-elle vraiment passive ?

Elle est souvent plus passive que le dropshipping, mais “passive” ne veut pas dire “sans rien faire”. Il faut quand même créer du contenu, optimiser ton référencement, entretenir ta communauté. Par contre, si un article de blog tourne bien et ramène des visites régulières pendant des mois, tu peux percevoir des commissions sans rien faire de plus. C’est ce qu’on appelle les “revenus passifs”, mais il faut un gros travail initial.

Quelle est la plus grosse erreur à éviter quand on fait de l’affiliation ?

Sous-estimer la qualité de ton contenu, clairement. Beaucoup de gens pensent qu’ils peuvent juste balancer un lien d’affiliation dans un texte bâclé et hop, l’argent tombe. En vérité, les internautes sont exigeants et veulent de la valeur. Il faut donc prendre le temps de rédiger des articles complets, intéressants, avec un vrai plus pour le lecteur. Les moteurs de recherche comme Google valorisent aussi les contenus de qualité.

Voilà, j’espère t’avoir éclairé. À toi de jouer ! Je serai ravi de savoir quelle voie tu comptes emprunter : affiliate marketing ou dropshipping ? Ou peut-être un mélange des deux ? Dans tous les cas, le tout est de te lancer, de tester, de t’adapter… et de persévérer jusqu’au succès. Bonne chance, mon ami(e) ! ✨

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Business Dynamite

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