Comment acheter un nom de domaine en 5 étapes simples

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Tu t’apprêtes à lancer ton site web ou ta boutique en ligne et tu veux que ta marque brille sur Internet ? Dans cet article, je t’explique exactement comment acheter un nom de domaine en cinq étapes simples pour être ultra-visible sur Google.

Je vais partager mes erreurs de débutant, mes anecdotes et surtout les bons plans pour ne pas te ruiner. Je vais aussi te montrer comment éviter de te faire piéger par des offres trop belles pour être vraies. Si tu cherches la méthode infaillible pour booster ton SEO, créer une image de marque solide et dominer ton marché, tu es au bon endroit.

Personnellement, j’ai déjà galéré avec des hébergeurs obscurs, des tarifs cachés et des soucis d’extensions introuvables… Tout ça, c’est fini grâce à mes astuces que je t’offre ici. Alors, prêt(e) à devenir le maître de ton nom de domaine ? Lis la suite, je te garantis que tu ne le regretteras pas.

Sommaire

Pourquoi ce sujet est crucial et comment je m’y suis cassé les dents

Quand j’ai acheté mon premier nom de domaine, je n’avais aucune idée de ce que je faisais. Résultat ? J’ai choisi un domaine interminable et introuvable sur Google. J’ai perdu un temps fou à tout changer par la suite, et ça a plombé mon référencement pendant des mois. Toi, tu n’as pas à vivre ça. Dans les lignes qui suivent, je vais te guider pas à pas : de la recherche de disponibilité à l’enregistrement et au renouvellement, en passant par les erreurs à éviter absolument. Je sais ce que c’est de créer un site de zéro, la pression des deadlines, l’envie de bien faire du premier coup. Alors détends-toi : j’ai tout condensé dans ce guide.

Tu veux connaître le chemin le plus sûr vers un nom de domaine percutant ?

Je t’ai concocté ci-dessous une structure claire : on va attaquer en identifiant ta problématique, puis plonger dans les détails (les fameux DNS, la protection WHOIS, etc.). C’est parti, suis-moi dans cette aventure, je suis juste à côté de toi comme un pote qui te donne des tuyaux autour d’un café ☕ (ou d’un thé, on ne juge pas) !

Anecdote perso
Je me souviens avoir voulu à tout prix un nom de domaine déjà pris. J’ai tenté le courtage, négocié, payé des frais supplémentaires… pour finalement me rendre compte qu’un nom de domaine alternatif faisait parfaitement l’affaire et coûtait moitié moins cher ! Depuis, je me pose toujours la question : “Est-ce que ça vaut vraiment le coup de m’acharner sur ce nom précis ?” Dans 90 % des cas, la réponse est non. Et c’est un énorme gain de temps et d’argent !

Mot d’ordre : Réfléchir stratégiquement avant d’acheter, car ton domaine sera l’étendard de ta présence web sur le long terme.

Identifier l’importance d’un bon nom de domaine

Un bon nom de domaine, c’est ta carte de visite en ligne. C’est la première chose que tes visiteurs verront, et c’est souvent ce dont ils se souviendront. Pourquoi je te dis ça ? Parce que j’ai déjà testé : un nom de domaine trop long ou trop compliqué, et tu peux dire adieu à la mémorisation. N’as-tu jamais essayé de taper un site super long et tu t’es emmêlé les pinceaux ? Moi oui, et je n’y suis jamais retourné.

Pour être clair, un nom de domaine efficace doit être :

  • Court : idéalement, évite de dépasser 15 caractères.
  • Mémorisable : un mot simple, un acronyme limpide ou un concept clair.
  • Ciblé : il doit refléter l’univers de ta marque ou le secteur d’activité.
  • SEO friendly : si possible, intègre tes mots-clés ou un concept phare.

En gros, c’est comme un logo : on veut que ça claque, qu’on s’en souvienne, et que ça transmette l’image de ta marque.

Pourquoi c’est si déterminant pour ton succès en ligne

Tu as beau avoir le meilleur produit du monde ou le meilleur contenu, si ton site est introuvable parce que ton nom de domaine n’est pas optimal, tu perds un temps considérable. Sans oublier l’impact sur ton SEO : Google prend en compte la pertinence du nom de domaine, surtout s’il est aligné avec ton contenu ou tes mots-clés. Combien de fois ais-je vu des concurrents me griller la priorité parce qu’ils avaient un meilleur nom de domaine ? Trop de fois. Alors aujourd’hui, je ne veux plus que ça t’arrive.

Erreur de débutant que j’ai commise

Je me souviens parfaitement avoir mis un tiret dans l’URL, genre mon-super-site-de-chaussures-en-cuir.com. En apparence, ça fait pro, non ? Eh bien pas du tout. Ça allonge l’URL, c’est compliqué à dire à l’oral (“tu mets un tiret entre super et site…”). Pire : ça peut porter à confusion si quelqu’un tape sans tiret. Résultat : j’ai perdu un trafic précieux. Depuis, j’évite les séparateurs inutiles dans mes noms de domaine.

Astuce : Si la version sans tiret est déjà prise, demande-toi s’il ne vaudrait pas mieux chercher un autre nom plutôt que de “forcer” avec des tirets.

Comment vérifier la disponibilité : la clé avant l’achat

On arrive au point crucial : est-ce que le domaine dont tu rêves est disponible ? Je me souviens avoir voulu un domaine du style ma-boutique.com, persuadé que personne ne l’aurait pris. Eh bien si ! Pire, ce n’était même pas un site actif : juste un propriétaire qui stockait le nom en attendant de le revendre.

Pour vérifier la disponibilité, tu peux utiliser un moteur de recherche de noms de domaine chez la plupart des registrars, comme GoDaddy, IONOS, OVHCloud, ou encore la fonctionnalité Domaines de Shopify ou Squarespace. En quelques secondes, tu sauras si tu peux l’acheter.

Le DNS, c’est quoi au juste ?

Le DNS (Domain Name System) agit comme un énorme répertoire qui associe chaque nom de domaine à une adresse IP. En gros, sans le DNS, ton navigateur ne saurait pas où te diriger. Pense à un bottin téléphonique (oui, ça existe encore !) où tu cherches le numéro exact d’une personne pour l’appeler.

Attention : parfois, le nom de domaine est libre, mais son extension ne l’est pas. Ou vice-versa. Vérifie les différentes options (.com, .fr, .net, .shop, etc.) pour trouver le meilleur compromis.

Le fameux WHOIS

Le WHOIS est le registre qui affiche publiquement le propriétaire d’un nom de domaine, ses coordonnées, etc. J’ai fait l’erreur de ne pas souscrire à la protection de la confidentialité sur un de mes sites et j’ai été bombardé de spams et de sollicitations commerciales. Si tu tiens à ta tranquillité, opte pour la protection WHOIS (et c’est souvent gratuit).

Mon conseil : Ne laisse jamais tes infos persos traîner sur le WHOIS. En plus d’une probable avalanche de mails indésirables, tu risques d’exposer des informations sensibles (comme ton adresse personnelle).

Les 5 étapes simples pour acheter un nom de domaine

Maintenant, on attaque le vif du sujet : concrètement, comment acheter un nom de domaine. Prépare-toi, je vais te livrer ma méthode, testée et approuvée au fil de mes multiples inscriptions, échecs et succès.

Étape 1 : Choisir le bon nom

C’est la base. Demande-toi : Quel est le cœur de mon activité ? Quelle image de marque je veux véhiculer ? Est-ce que j’ai envie d’ajouter un mot-clé, comme “blog”, “shop” ou “online” ?

Je me souviens d’avoir galéré à trouver un nom pour mon premier e-commerce. J’ai brainstormé pendant des heures, écrit des dizaines d’idées sur un tableau blanc. Au final, le nom parfait est souvent le plus simple et le plus direct.

  • Exemple : Tu vends des chaussures en cuir artisanales ? PrenomNomChaussures.com, NomBoutique.fr ou encore ChaussuresArtisan.fr peuvent fonctionner.
  • Attention : Vérifie que le nom n’est pas trop compliqué à prononcer ou à écrire.
  • Astuce : Pense à glisser un mot-clé représentatif. Google apprécie ce petit clin d’œil, même si ce n’est plus aussi déterminant qu’avant pour ton SEO.

Étape 2 : Vérifier la disponibilité

Je répète, mais c’est hyper important : tape ton domaine sur Shopify Domain, GoDaddy, Squarespace, IONOS ou OVHCloud. En un clic, tu sauras si c’est dispo.

Et si c’est pris ?

  • Opte pour un préfixe : GoMonSite.com, HelloMaMarque.fr, etc.
  • Ou un suffixe : MaMarqueShop.com, MaMarqueOnline.fr, etc.
  • Change d’extension : .net, .org, .shop, etc.
  • Procède au courtage de nom de domaine si tu es vraiment accro à ce nom et prêt à payer des frais de service et de négociation.

Honnêtement, j’ai dépensé un jour plus de 500 € pour racheter un nom existant. Ça valait le coup parce qu’il correspondait exactement à ma marque. Mais si j’avais été plus flexible, j’aurais pu économiser et lancer mon activité plus vite.

Étape 3 : Choisir un registrar fiable

Un registrar, c’est une entreprise accréditée pour réserver et enregistrer ton nom dans le DNS. Il en existe des milliers, mais je te conseille d’en choisir un réputé, histoire d’éviter les problèmes de support client ou de fiabilité.

Les plus connus :

  • Shopify (intégré à la plateforme, super simple pour connecter ton e-commerce)
  • Squarespace (très pratique si tu utilises déjà leur CMS)
  • GoDaddy (l’un des plus anciens du marché)
  • IONOS (fiable, bon support, basé en Allemagne)
  • OVHCloud (leader français)
  • Nom-domaine.fr (si tu préfères un acteur local, avec un support en français)

Je me souviens avoir opté une fois pour un registrar exotique. Grosse erreur : un service client quasiment inexistant, pas de support en français, et j’ai failli perdre mon nom de domaine à cause d’un bug de renouvellement.

Étape 4 : Acheter et enregistrer ton domaine

Ici, c’est le moment de passer à la caisse. Généralement, tu verras un prix pour l’année en cours et un prix de renouvellement (souvent plus élevé). Ne te fais pas avoir : vérifie le coût réel sur plusieurs années.

  • Exemple personnel : J’ai déjà eu un super deal à 0,99 € la première année… mais 15 € de renouvellement par an ensuite. Fais tes calculs : une petite économie maintenant peut se transformer en gros frais plus tard.
  • Vérifie : la protection de la confidentialité WHOIS est-elle comprise ? Le certificat SSL est-il inclus ? As-tu des adresses mail pro (type contact@tonsite.com) offertes ?

Une fois que tu as entré tes informations et que le paiement est validé, tu reçois un mail pour valider la propriété du domaine. Ne néglige pas cette étape, elle confirme légalement que tu es l’unique détenteur du nom de domaine.

Étape 5 : Renouveler le nom de domaine

Ton nom de domaine n’est pas acquis à vie. Après 1 an (ou 2, 3… selon ta souscription), tu devras le renouveler. Si tu oublies, il retombe dans le domaine public et quelqu’un d’autre peut le racheter.

  • Mon conseil : active le renouvellement automatique, comme ça tu es tranquille.
  • Vérifie l’état de ta carte bancaire ou de ton moyen de paiement pour éviter les mauvaises surprises (carte expirée, etc.).
  • Attention : si tu ne veux plus du nom de domaine, pense à bien désactiver l’option pour ne pas te faire facturer une année supplémentaire pour rien.

Les risques à ne pas sous-estimer

Risque n°1 : S’attacher à un nom déjà pris

Je l’ai fait : je me suis obstiné à acquérir un nom ultra-saturé. Résultat : j’ai perdu du temps, de l’argent, et la concurrence avait déjà bien ancré ce nom. Alors pose-toi la question : “Puis-je trouver une alternative plus simple ?” La plupart du temps, oui !

Risque n°2 : Sous-estimer la confidentialité

Ne pas protéger ses données sur le WHOIS = gros danger. Je me suis retrouvé à recevoir des appels téléphoniques de compagnies louches, jour et nuit. Quand tu tiens à ta vie privée, c’est vite insupportable.

Risque n°3 : Acheter trop vite

Parfois, on est super excité de prendre un nom qu’on ne vérifie pas tout. N’oublie pas de regarder :

  • Le prix de renouvellement.
  • La réputation du registrar.
  • La compatibilité avec ton hébergeur ou ton CMS (Shopify, WordPress, PrestaShop, etc.).
  • Les services inclus (adresses mail, sous-domaines, etc.).

Conseil d’ami : fais un petit comparatif rapide sur Excel ou un papier avant de te lancer.

Astuces supplémentaires pour un SEO au top

Tu cherches certainement à dominer les SERP (pages de résultats Google). Eh bien, sache que ton nom de domaine impacte le SEO, même si moins qu’avant. Les mots-clés exacts dans le domaine aident parfois un peu, mais surtout la cohérence de ton site, la qualité de ton contenu et l’expérience utilisateur sont déterminantes.

  • Inclure un mot-clé dans le domaine peut être un plus, mais ne fais pas du keyword stuffing : chaussurecuirpascherendestock.fr, ça fait spam et c’est moche.
  • Optimise tes balises meta et la structure globale de ton site une fois le domaine en place.
  • Travaille tes backlinks : un nom de domaine simple attire plus de liens extérieurs qu’un domaine long et compliqué.
  • Mise sur la vitesse du site : Google adore les sites rapides, donc choisis un hébergement qui t’assure une bonne performance.

Mon petit tableau comparatif des registrars et de leurs prix (exemple)

RegistrarPrix 1ère annéePrix de renouvellementProtection WHOISPoints forts
Shopify15 $15 $/anGratuiteConnexion ultra simple à la boutique en ligne
Squarespace10,80 €18 €/anGratuiteIdéal si tu utilises déjà leur éditeur de site
GoDaddy0,99 €11,99 €/anGratuiteExpérience solide, gros catalogue d’extensions
IONOS0,60 €10 €/anGratuiteBon support, packs hébergement+mail abordables
Nom-domaine19,90 €19,90 €/anGratuiteFiable, basé en France, contact client en français
OVHCloudVariableVariableSouvent incluseLeader français, nombreuses solutions (hébergement, mail, etc.)

(Ces prix peuvent varier en fonction des offres du moment, donc vérifie toujours avant de finaliser.)

Tutoriel étape par étape : Mon “flow” de l’achat de domaine

  1. Je brainstorme : Je liste 5 à 10 idées de nom, en intégrant pourquoi pas un mot-clé principal ou un terme reflétant mon activité.
  2. Je vérifie la disponibilité : Je vais sur Shopify Domain (ou un autre outil) pour voir ce qui est libre.
  3. Je compare les prix : Je regarde chez GoDaddy, OVHCloud, IONOS… “Qui me propose la meilleure offre la première année ? Et le meilleur tarif de renouvellement ?”
  4. Je choisis la meilleure option : En tenant compte de la protection WHOIS, de la réputation du registrar et des services inclus (e-mail pro, sous-domaine, etc.).
  5. J’achète et j’enregistre : Je crée mon compte, j’entre mes infos de facturation, je confirme la commande.
  6. Je valide le mail : Important de cliquer sur le lien envoyé pour certifier que je suis le propriétaire.
  7. Je paramètre les DNS : Si j’utilise un autre hébergeur que mon registrar, je configure les nameservers ou j’ajoute les entrées A/CNAME.
  8. Je teste : J’attends 24 à 48h (propagation DNS) pour voir si mon site pointe correctement.
  9. Je n’oublie pas le renouvellement : J’active le renouvellement auto pour ne pas perdre le nom.

Top 5 des sites de référence

  • Namecheap : Connu pour ses tarifs compétitifs et sa simplicité, beaucoup de gens l’utilisent pour des projets internationaux en anglais.
  • Gandi.net : Un autre acteur français avec un bon support et des fonctionnalités très avancées.
  • Dynadot : Apprécié par certains pros pour acheter des domaines expirés ou faire du backorder.
  • Hostinger : Combine solutions d’hébergement et offres de nom de domaine à prix attractifs.
  • Google Domains : Racheté par Squarespace en 2023, certains utilisateurs continuent de l’utiliser pour profiter de la facilité d’intégration à Google Workspace.

(Chacun a ses avantages et ses inconvénients, n’hésite pas à regarder des avis clients et des tutoriels YouTube pour te faire une idée.)

Mes conseils pour éviter les galères de dernière minute

  • Contrôle orthographique : Avoue, ça paraît bête, mais j’ai vu des gens enregistrer “boutque.com” au lieu de “boutique.com”. Le stress, c’est le pire ennemi de la précision.
  • Fais un test à voix haute : Arriveras-tu à communiquer simplement ton adresse lors d’un appel téléphonique ou dans un podcast ?
  • Évite les chiffres sauf si c’est vraiment logique (par ex. “marque360.com”).
  • Méfie-toi des offres “gratuites” : Si un hébergeur te propose un nom de domaine gratuit, assure-toi que ce n’est pas juste la première année, et que tu restes maître de ton domaine si tu décides de changer de plateforme.

J’ai un problème avec mes DNS : que faire ?

Ça m’est arrivé plus d’une fois : j’enregistre un domaine chez un registrar, j’héberge le site ailleurs, et je n’arrive pas à configurer les DNS correctement. Avant de paniquer, je te conseille :

  • De regarder les tutos officiels (OVH, GoDaddy, Shopify, etc. ont tous une base de connaissances).
  • De vérifier si tu n’as pas mal saisi un CNAME ou un A record.
  • De tester la propagation DNS sur un site comme Whatsmydns.net.
  • D’attendre 24 à 48 heures : des fois, ça prend juste un peu de temps.

Petit rappel : un enregistrement A (Address) associe un nom de domaine à une adresse IP, un CNAME alias associe un nom de domaine à un autre domaine, etc. Si tu entres un A record au mauvais endroit, c’est vite la pagaille.

Et si je change d’hébergeur ?

C’est courant : tu peux très bien acheter ton nom de domaine chez OVHCloud, héberger ton site chez IONOS, et plus tard décider de migrer vers Shopify. La clé, c’est de savoir mettre à jour tes DNS et configurer correctement les nameservers. Ce n’est pas compliqué, mais ça requiert un minimum d’organisation et de patience.

Ça m’est arrivé

J’avais un site WordPress hébergé chez un hébergeur A, j’ai tout déplacé chez un hébergeur B parce que j’avais besoin de plus de performances. J’ai modifié les nameservers sur le site du registrar, et ça a pris un peu plus d’une journée pour se propager. Pendant ce laps de temps, certains visiteurs voyaient l’ancienne version du site, d’autres la nouvelle. Mais rien de grave, c’est un comportement normal.

Conclusion motivante : il est temps de passer à l’action

Voilà, tu as désormais toutes les cartes en main pour bien acheter ton nom de domaine en 2024 (et au-delà). Tu sais ce qu’il faut vérifier (disponibilité, extension, prix, réputation du registrar, protection WHOIS), tu sais quelles erreurs éviter (nom trop long, tirets, orthographe douteuse), et tu as même un tutoriel étape par étape pour connecter ton domaine à ton site. Alors plus d’excuse, lance-toi !

Imagine-toi dans quelques mois, avec un site qui tourne, un nom de domaine simple à retenir, et surtout la fierté de savoir que tu as bâti des fondations solides pour ton projet. Plus vite tu réserves ton domaine, plus vite tu seras en ligne, et plus vite tu pourras travailler ton référencement pour capter un max de visiteurs.

Prochaines étapes :

  • Identifie 3 ou 4 noms qui te plaisent.
  • Vérifie leur disponibilité.
  • Fais ton choix et enregistre-les au meilleur prix.

Fonce, je suis avec toi ! Et si tu as la moindre question, tu sais où me trouver (un petit commentaire sur le blog ou un message sur les réseaux, je réponds toujours).

FAQ

Comment choisir la meilleure extension de nom de domaine ?

Le choix de l’extension dépend de ta cible et de ton budget. Le .com et le .fr (pour la France) restent les plus populaires et crédibles. Cependant, si tu souhaites te démarquer, tu peux opter pour des extensions plus originales comme .shop, .store ou .boutique, surtout si tu gères un e-commerce. Veille quand même à ce que le prix de l’extension soit dans tes cordes, car certaines sont nettement plus chères.

Puis-je transférer mon nom de domaine chez un autre fournisseur plus tard ?

Oui, la plupart des noms de domaine sont “transférables” après un certain délai (généralement 60 jours après l’enregistrement initial). Pour transférer, tu devras déverrouiller ton domaine auprès du registrar actuel et obtenir un code de transfert (appelé Auth Code ou EPP Code). Attention à vérifier que tu as bien accès à ton compte client pour récupérer ces infos.

Comment sécuriser mon nom de domaine pour qu’on ne me le vole pas ?

En activant le verrouillage de domaine (Domain Lock) dans ton interface client, tu évites que quelqu’un initie un transfert à ton insu. Pense aussi à mettre un mot de passe solide et à sécuriser ton compte registrar avec une authentification à deux facteurs (2FA) si c’est proposé.

Est-ce qu’un nom de domaine gratuit vaut vraiment le coup ?

En général, un domaine “gratuit” est fourni soit par une plateforme de création de site (avec leur marque incluse dans l’URL, comme .myshopify.com), soit lors d’une offre spéciale la première année. Dans le premier cas, tu n’es pas réellement propriétaire du nom (et ça fait moins pro). Dans le second cas, attention au coût de renouvellement ! Mon conseil : achète toujours ton propre nom de domaine, même si ça implique un petit investissement annuel.

Combien de temps faut-il attendre pour que mon nom de domaine pointe vers mon site ?

En règle générale, la propagation DNS peut prendre de quelques minutes à 48 heures. C’est plus souvent réglé sous 24 heures, mais ça peut varier en fonction de ton registrar, de ton hébergeur et de la localisation des serveurs dans le monde. Sois patient, c’est normal si ton site met un peu de temps à apparaître en ligne partout.

Comment éviter de payer trop cher mon nom de domaine sur le long terme ?

Fais tes recherches en amont : compare le coût de renouvellement chez différents registrars, pas seulement le prix d’appel. Prends en compte la protection WHOIS (souvent gratuite, mais pas toujours), les fonctionnalités offertes (e-mail pro, sous-domaines illimités, SSL inclus) et la qualité du support client. Parfois, payer un peu plus cher pour un service premium te fera économiser du temps et de l’argent sur la durée.

Quelle différence entre un sous-domaine et un domaine ?

Le domaine est l’URL principale (ex. monsite.com), tandis que le sous-domaine est une extension ajoutée avant le nom (par ex. blog.monsite.com). Les sous-domaines permettent d’organiser ton contenu ou d’héberger une section distincte de ton site (comme un forum ou un espace membre). Ils sont souvent gratuits à configurer, mais doivent être paramétrés dans tes DNS.

Puis-je acheter plusieurs noms de domaine et les faire pointer vers le même site ?

Oui, c’est une stratégie parfois utilisée pour capter du trafic qui viendrait d’orthographes différentes de ta marque ou d’extensions variées. Par exemple, tu peux posséder monsite.com et monsite.fr et les faire rediriger vers le même contenu. Veille juste à mettre en place une redirection 301 propre pour éviter les duplications de contenu aux yeux de Google.

Faut-il toujours préférer .com ou .fr ?

Pas forcément. Le .com reste très prisé, tout comme le .fr pour la France, car ils ont une forte crédibilité aux yeux des internautes. Cela dit, d’autres extensions peuvent être intéressantes : le .net pour un aspect plus technique, le .org pour les associations ou le .shop pour un e-commerce. Si le .com que tu visais est déjà pris, un .fr peut très bien faire l’affaire, surtout si ta clientèle est majoritairement francophone.

Que faire si j’ai changé d’avis sur mon nom de domaine après l’achat ?

Si tu viens de l’acheter, tu peux le laisser expirer à la fin de l’année ou le renouveler si tu penses qu’il peut servir plus tard. Tu peux aussi le revendre sur des places de marché spécialisées (comme Sedo ou Afternic) si tu estimes qu’il a une bonne valeur. Dans tous les cas, si tu décides de changer de domaine pour ton site, prépare-toi à faire des redirections 301 pour conserver au maximum ton référencement.


Voilà, maintenant tu es armé(e) pour foncer et acheter ton nom de domaine dans les meilleures conditions possible. Si tu veux cartonner en ligne, n’oublie pas : la cohérence, la simplicité et la stratégie sont tes meilleurs amis. Alors, à toi de jouer, et en avant pour la conquête du web ! ✨

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