Qu’est ce que l’infoprenariat et ses opportunités ?

4.7
(1199)

Je me souviens encore de la première fois où j’ai entendu le mot infoprenariat. J’étais sceptique, je me demandais : « Peut-on vraiment gagner sa vie en vendant uniquement son savoir ? ». Aujourd’hui, je peux te dire que l’infoprenariat offre d’incroyables opportunités pour toute personne souhaitant monétiser ses connaissances et travailler depuis n’importe où. Si tu rêves de lancer ta propre activité sans stock ni logistique compliquée, l’infoprenariat est probablement fait pour toi.

Dans cet article, je vais partager mes erreurs, mes astuces, et un plan d’action concret pour que tu puisses percer dans ce domaine. Tu découvriras comment fusionner l’infoprenariat à d’autres business models, comment héberger tes formations sans prise de tête, et pourquoi certains parlent d’infoprenariat augmenté. Prêt à découvrir tous les secrets de ce secteur ultra-prometteur ? Lis la suite et plonge dans un univers où ton savoir devient ta plus grande richesse.

Sommaire

Mon expérience avec l’infoprenariat

Je me souviens du jour où j’ai vendu ma toute première formation en ligne : c’était sur un thème aussi simple que la « découverte de la guitare pour débutants ». Honnêtement, je n’aurais jamais pensé que quelqu’un paierait pour m’écouter expliquer comment gratter les cordes. Pourtant, quelques mois plus tard, j’avais déjà vendu plus de 100 accès à ma formation, et ça n’a fait que grandir par la suite. Peut-être que tu te demandes si toi aussi, tu as des compétences monnayables ?

La réponse est quasiment toujours « oui ». C’est fou à quel point on sous-estime la valeur de notre propre savoir, alors que d’autres rêvent de l’acquérir pour évoluer plus vite. L’infoprenariat, c’est exactement ça : vendre son expertise pour aider ceux qui en ont besoin. Mais attention, ce n’est pas juste poster trois vidéos et espérer que l’argent tombe du ciel. C’est un vrai métier, passionnant mais parfois challengeant. Et c’est justement ça qui est grisant. Tu te lances ?

Un site d'infoprenariat sur les cours de guitare.
Screenshot

Infoprenariat : la définition qui va te surprendre

En général, on dit que l’infoprenariat consiste à vendre un produit d’information (un ebook, une formation vidéo, du coaching, etc.). Pourtant, quand j’ai commencé, j’ai découvert que ce terme cache un univers bien plus vaste. Infoprenariat définition la plus simple ? C’est monnayer n’importe quelle forme de savoir, de connaissance ou d’expertise. Si tu possèdes une passion — de la pêche à la peinture, en passant par la nutrition ou la musique — tu peux la transformer en business model infoprenariat.

Ça paraît magique, mais c’est tout un art : comment transmettre, à quel prix, sur quelle plateforme, selon quel statut d’entreprise ? Je me souviens avoir planché des nuits entières sur la meilleure stratégie, et crois-moi, je me suis trompé plus d’une fois. J’ai tenté de faire un infoprenariat pdf avec 60 pages d’illustrations… et personne ne l’a acheté au début. Ensuite, j’ai changé ma formule, j’ai ajouté des vidéos explicatives et un coaching infoprenariat en visioconférence, et là, le succès est venu. Comme quoi, persévérance et créativité sont les maîtres mots.

Les avantages de l’infoprenariat : mon vécu

Je suis quelqu’un qui adore voyager. Grâce à l’infoprenariat, j’ai pu bosser à la fois depuis mon salon et depuis des cafés à l’autre bout du monde. Fini les contraintes de stock, d’expédition ou de frais de transport à rallonge. Je peux aussi ajuster mon tarif sans que cela dépende d’un fournisseur : c’est moi le fournisseur !

De plus, j’avoue que la marge est exceptionnelle. Quand tu vends un produit digital, tu as peu de coûts de production et de logistique. Les ventes se font souvent de façon automatique, surtout quand tu intègres un système de mailing ou un tunnel de vente sur une plateforme d’hébergement de formation en ligne. Et puis, il y a cette satisfaction personnelle de voir tes élèves progresser.

Parfois, je reçois des messages de personnes qui me remercient d’avoir changé leur vie, rien que ça ! Tu imagines l’impact que peut avoir un simple produit d’information ? Je me suis rendu compte que l’infoprenariat n’était pas juste un business, mais aussi un moyen d’accomplir quelque chose de grand en partageant ta passion.

Comment j’ai découvert l’infoprenariat

J’ai connu l’infoprenariat en assistant à une conférence infoprenariat organisée dans un salon d’entrepreneurs. Au départ, je trouvais ça louche : « Vendre du vent ? », me disais-je. Puis j’ai rencontré un expert comptable spécialisé dans l’infoprenariat qui m’a expliqué que c’était un secteur complètement légal, avec un statut entreprise à l’étranger possible si tu es nomade, ou simplement en France si tu préfères.

Il m’a aussi parlé de stratégies comme la politique de produit dans l’infoprenariat, ou encore de niches infoprenariat super rentables. Bref, le lendemain, j’étais chez moi, bloc-notes en main, pour lister toutes mes expertises : guitare, marketing digital, dropshipping, et même le bricolage. Au final, c’est la guitare qui m’a paru la plus accessible pour commencer. J’ai lancé mon premier forum infoprenariat pour échanger avec d’autres passionnés, j’ai créé un blog, et hop, j’étais parti pour l’aventure. Est-ce que j’ai eu peur ? Bien sûr ! Mais j’ai compris que la peur de la technique, l’infoprenariat en anglais ou en français, tout ça, c’était des freins qui ne tenaient qu’à nous. Les solutions sont légion sur le web, il suffit de se lancer.

Les erreurs classiques à éviter

Bon, je te préviens : avant de réussir, j’ai fait toutes les erreurs possibles ! Je me rappelle avoir promis la lune dans mes premières pages de vente, type « Devenez le prochain Jimi Hendrix en 2 semaines ». Résultat : j’ai eu des clients frustrés et des demandes de remboursement. Mauvaise idée. Ensuite, j’ai voulu automatiser trop vite. Tu sais, ces fameuses solutions “faites un tunnel de vente et dormez sur vos deux oreilles” ? Eh bien, sans contenu de qualité et sans suivi, ça ne vaut rien. Autre erreur : négliger la légalité infoprenariat. Je n’avais pas déclaré les revenus correctement, et je me suis fait peur avec l’URSSAF.

Aujourd’hui, j’insiste toujours sur ce point : informe-toi sur la déclaration URSSAF, la TVA infoprenariat, et choisis un expert comptable spécialisé dans l’infoprenariat si nécessaire. Enfin, j’ai confondu audience et clients potentiels. Avoir beaucoup d’abonnés sur Instagram ne signifie pas qu’ils achèteront ta formation. Crois-moi, ce n’est pas une question de vanité, c’est une question de ciblage. Tu dois apprendre à connaître ton audience, à cerner leurs objections les plus fréquentes, et à leur parler avec sincérité. Alors, prêt à éviter ces pièges ?

Infoprenariat : les niches qui cartonnent

Un secteur prometteur infoprenariat ? Il y en a plein, mais c’est à toi de dénicher la niche qui te parle vraiment. Je connais un pote qui gagne sa vie en proposant des formations en français pour réussir les concours de la fonction publique. Un autre qui vend des cours sur la posture et le yoga. Tout est possible. Qu’est-ce que l’infoprenariat pourrait t’apporter si tu te lançais dans tes propres passions ? S’il y a un public, il y a un marché.

Le plus important, c’est de trouver un angle original. Par exemple, je vois parfois des gens se lancer dans la cuisine vegan, mais ils n’apportent rien de nouveau. Résultat : ils se noient dans la masse. Le hack ? Ajoute ta touche perso, raconte ton histoire, tes galères, pourquoi tu t’es tourné vers le vegan. Sois authentique et spécialise-toi.

Dans la foulée, propose des workshops en live, comme un coaching infoprenariat, et n’hésite pas à faire appel à l’affiliation pour rentabiliser. Un exemple concret ? Si tu crées une formation sur le dessin, tu peux recommander du matériel via Amazon en affiliation. Ainsi, chaque achat te rapporte une commission. C’est ça, le principe de l’infoprenariat augmenté.

Fusionner l’infoprenariat et d’autres business models

Mon truc à moi, c’est de ne jamais me limiter à un seul modèle. Comme je suis passionné de dropshipping, j’ai commencé à vendre des médiators et du matériel de guitare en parallèle de mes formations. Bingo ! Les acheteurs de mon cours étaient ravis d’acheter leurs accessoires chez moi, parce qu’ils me faisaient déjà confiance. Le business model infoprenariat se prête parfaitement à ce genre de synergie : tu vends un savoir et, au passage, tu proposes un produit physique ou un service connexe.

Regarde Russell Brunson, ce mec est un pape de l’infoprenariat aux USA. Il a créé ClickFunnels, et en parallèle, il vend des livres, des coachings, et organise des événements. Jeff Walker, Tim Ferriss, David Jay… Tous ont compris l’importance de diversifier leurs offres tout en restant dans la même thématique de base. As-tu déjà pensé à faire de l’affiliation pour booster tes revenus ? Par exemple, une formation sur la photographie peut renvoyer vers des objectifs ou des trépieds en affiliation.

Et pourquoi pas monter un partenariat avec un studio de photo local pour organiser un workshop ? Une belle façon de marier l’infoprenariat à la vie “réelle”. C’est ce que j’appelle l’infoprenariat chronophage : au début, on investit du temps pour tisser des partenariats, mais la récompense est là quand ça décolle.

Le blocage de la technique ? Un mythe

Si j’ai un conseil à te donner, c’est de ne jamais te laisser décourager par la peur de la technique. Crois-moi, moi aussi j’ai flippé en me disant : “Je ne suis pas développeur web, comment vais-je créer une plateforme d’e-learning ?”. Puis j’ai découvert des solutions comme LearnyBox, Teachable ou Podia, qui simplifient tout. C’est un peu comme un shopify, mais pour la formation à l’infoprenariat.

Certes, tu dois te renseigner pour choisir la plateforme qui te correspond le mieux, mais le blocage technique n’est plus une excuse valide. Et si tu as vraiment deux mains gauches en informatique, forme-toi, ou délègue ! Il existe plein de freelances qui peuvent t’aider à mettre en place un espace membre sécurisé. Au final, c’est un investissement, mais ça t’évite de perdre des milliers d’euros en galères techniques. Ne dis pas que tu n’es pas fait pour ça, tout s’apprend. J’étais nul en code, j’ai quand même réussi à me débrouiller en regardant quelques tutos. Tu veux te lancer ? Fonce, tu vas apprendre sur le tas.

Étapes pour créer ta première formation en ligne

Je pourrais en parler pendant des heures, parce que j’adore enseigner comment enseigner ! Mais pour faire simple, voilà les grands jalons à suivre si tu veux entrer dans l’univers de l’infoprenariat français (ou même infoprenariat américain si tu maîtrises la langue) :

Une femme en train de créer un site d'infoprenariat et vendre sa formation en ligne.
Screenshot

Identifie ta niche et ton audience

De quoi as-tu envie de parler pendant des heures ? Sur quel problème concret peux-tu aider les gens ?

Crée un plan de cours clair

Fais des modules, des chapitres, des leçons. Mets-toi dans la peau d’un débutant total. Qu’est-ce que l’infoprenariat leur apporte concrètement ?

Enregistre ou rédige ton contenu

Vidéo, audio, PDF… choisis le format où tu es le plus à l’aise. Par exemple, infoprenariat pdf ou tutoriels vidéo, ou les deux.

Héberge ta formation

Sélectionne une plateforme fiable, ou même un simple groupe Facebook privé si tu débutes. Ton objectif : que ton contenu soit simple d’accès et protégé.

Fais la promotion

Utilise les réseaux sociaux, les emails, les conférences infoprenariat, ou même un blog infoprenariat pour attirer du trafic. Ne te contente pas d’espérer que ça tombe tout cuit.

Collecte des retours

Demande à tes premiers clients ce qui leur a plu ou déplu. Améliore ensuite ta formation en conséquence.

Ça a l’air logique, mais je t’assure qu’il y a de quoi se perdre quand on démarre. Si j’avais su tout ça dès le départ, j’aurais gagné un temps fou. Et c’est pour ça que je trouve fantastique de partager mes expériences aujourd’hui avec toi.

Héberger ta formation : mes meilleurs conseils

Quand j’ai lancé mon premier programme, j’ai hébergé mes vidéos sur mon propre site WordPress. Mauvaise idée pour moi : j’étais souvent confronté à des bugs, et la protection contre le piratage était compliquée. Ensuite, je suis passé par des solutions tout-en-un comme LearnyBox. Ce que j’ai adoré, c’est la facilité pour créer des tunnels de vente, programmer des emails et gérer les paiements. C’est un gain de temps énorme. Bien sûr, il existe aussi Teachable, Systeme.io ou Podia, très prisés sur le marché de l’infoprenariat aux USA. As-tu entendu parler d’infoprenariat.fr ? C’est un autre site francophone qui répertorie des outils et ressources utiles. À toi de comparer, mais l’important est de trouver une solution qui te permette de :

Protéger tes contenus

Pas question que tes vidéos se baladent gratuitement partout.

Gérer les paiements

Stripe, PayPal, virements, etc.

Automatiser ta com’

Séquences d’emails, relances, upsells, downsells.

Créer des espaces membres

Un espace clair et ergonomique où tes élèves retrouvent leurs formations. Personnellement, je préfère les plateformes intégrées, mais certains utilisent aussi Shopify (oui, c’est possible) ou un simple groupe Facebook privé si tu n’as pas un grand budget. Une fois que tu maîtrises ça, tu peux te concentrer sur l’essentiel : créer une formation béton.

Exploiter l’affiliation en infoprenariat

Parlons un peu des revenus annexes, parce que l’infoprenariat ne s’arrête pas à la vente de ta formation. Quand j’ai lancé mon cours de guitare, j’ai commencé à recommander des cordes, des médiators, et même des amplis en affiliation. Ça m’a rapporté un beau complément, quasi passif. Pourquoi t’en priver ? L’infoprenariat te donne la confiance de ton audience. Si tu as apporté de la valeur avec ta formation, ils te verront comme un référent. Alors, quand tu conseilles un produit, ils sont plus enclins à l’acheter. Fais-le de manière honnête, évidemment. N’oublie pas non plus de déclarer ces revenus. Infoprenariat declaration urssaf, c’est nécessaire. De plus, l’affiliation n’est pas réservée qu’à Amazon : tu peux t’associer avec d’autres infopreneurs, des boutiques spécialisées, ou même des SaaS (logiciels en ligne) si ta thématique s’y prête. Cela peut booster sérieusement tes gains, au point de devenir supérieur à ta formation elle-même. J’ai un pote qui, grâce à l’affiliation, gagne quasiment le double de ce qu’il gagne en vendant ses propres cours. Ça donne à réfléchir, non ?

Le tutoriel pas à pas pour te lancer

Trouve ton idée

Liste tout ce que tu sais faire ou tout ce qui te passionne. Sélectionne la thématique où tu as le plus de compétences ou que tu es prêt à développer en profondeur. Inutile de chercher la niche parfaite, cherche plutôt celle qui te motive vraiment.

Valide ta niche

Fais une mini-enquête. Va sur des forums, des groupes Facebook, des sites concurrents. Y a-t-il déjà un public demandeur ? L’infoprenariat blog est-il saturé sur ce sujet ou y a-t-il un angle unique à apporter ? Prends des notes.

Crée un échantillon de contenu gratuit

Un PDF, une vidéo, un mini-webinar. Analyse les retours. Si les gens sont emballés, c’est bon signe. S’ils s’en fichent, ajuste ton approche.

Élabore ta formation complète

Structure-la de façon logique. Astuce : imagine que tu formes quelqu’un qui n’y connaît rien, étape par étape. Évite le jargon, ou alors explique-le clairement.

Choisis ton outil d’hébergement

LearnyBox, Systeme.io, Podia, etc. Mets en place un tunnel de vente basique (page de vente, page de paiement, page de remerciement). N’oublie pas l’email marketing pour garder le contact.

Lance une phase bêta

Vends ta formation à un tarif préférentiel pour recueillir des témoignages et des retours. Corrige ce qui doit l’être, ajoute des modules si besoin. L’essentiel est de satisfaire tes premiers clients.

Fais ta campagne de lancement

Utilise les réseaux sociaux, les publicités Facebook ou Google, et ton blog si tu en as un. Parle de ton histoire, de pourquoi tu as créé cette formation. Les gens achètent un état d’esprit autant qu’un contenu.

Analyse et optimise

Suis tes stats de vente, ton taux d’ouverture d’emails, la satisfaction de tes clients. Plus tu optimises, plus tu gagnes en rentabilité et en crédibilité.

Scale

Si ton produit marche bien, pense à la publicité payante à grande échelle, aux partenariats ou à un programme d’affiliation pour que d’autres promeuvent ta formation à ta place.

Comparatif des plateformes les plus populaires

PlateformePoints fortsPour qui ?
TeachableInterface ultra simple, bon rapport qualité-prixCeux qui cherchent une solution plutôt orientée marché anglophone
LearnyBoxTout-en-un, idéal pour créer tunnels de vente, espace membre, emailingEntrepreneurs francophones aimant la simplicité
Systeme.ioTarifs attractifs, fonctionnalités variées (email, tunnel, affiliation)Débutants et confirmés en quête d’un outil complet
PodiaDesign épuré, gestion d’abonnements, support réactifFormateurs qui veulent créer une communauté avec souscriptions
WordPress + PluginsGrande liberté, nombreux plugins (Learndash, etc.)Ceux qui aiment personnaliser et maîtrisent un peu la technique

Perso, j’ai longtemps jonglé entre LearnyBox et WordPress. J’aime la maîtrise que m’offre WordPress, mais LearnyBox m’a fait gagner un temps de fou. À toi de voir en fonction de ton budget, ta préférence et la localisation de ta clientèle (infoprenariat en anglais ou en français).

Pourquoi certaines formations cartonnent plus que d’autres

Voilà une question que je me suis souvent posée. J’ai lancé plusieurs formations. Certaines ont décollé, d’autres sont restées dans l’ombre. Au fil du temps, j’ai réalisé qu’il y a un élément clé : la promesse. Ton cours doit résoudre un vrai problème. Pas un problème “sympa à régler un jour”. Je parle d’un souci urgent, ou d’une aspiration forte.

Par exemple, apprendre la guitare pour épater ses potes, c’est pas mal, mais si tu leur dis : « J’étais un grand timide avant de me mettre à la guitare, et ça a changé ma vie sociale. » là, tu parles à des gens qui se reconnaissent. Raconte ton parcours, sois authentique. Ensuite, ton branding doit être cohérent. As-tu déjà pensé à un positionnement clair ?

Je vois trop de gens qui se contentent d’écrire “Formation sur la guitare” et c’est tout. Alors qu’il y a mille façons de te démarquer : “Débutant introverti qui veut jouer des morceaux pop en soirée” peut être plus accrocheur. Enfin, la qualité de ton contenu est primordiale. Des vidéos mal filmées, un son dégueulasse… Les gens ne paieront pas pour ça. Investis dans un micro correct, un smartphone récent suffit souvent pour la vidéo, et prend le temps de faire du montage. Le marché de l’infoprenariat en France est encore jeune, tu as toutes tes chances si tu y mets du cœur et du professionnalisme.

Le marché de l’infoprenariat : un secteur prometteur

En parlant de marché, tu devrais savoir que l’infoprenariat en France connaît une croissance exponentielle. Les chiffres clés sont difficiles à obtenir précisément, mais j’ai lu que plus d’une personne sur trois a déjà suivi une formation en ligne dans l’Hexagone. Aux États-Unis, c’est encore plus développé, avec des poids lourds comme Udemy ou Skillshare. D’ailleurs, l’infoprenariat américain m’a beaucoup inspiré à mes débuts, car ils sont généralement très avancés sur tout ce qui est “formation en ligne”.

Tim Ferriss, auteur de “La semaine de 4 heures”, a largement contribué à populariser ce business model. Et Jeff Walker, avec sa “Product Launch Formula”, a prouvé qu’on pouvait faire des lancements orchestrés qui génèrent des millions de dollars en un week-end. Mais attention, pas besoin de viser aussi grand pour être rentable. Même si tu touches une petite audience, tu peux gagner un revenu plus que confortable, à condition de savoir te démarquer. Pour moi, c’est un secteur encore très “open bar” où de nouvelles opportunités émergent sans cesse.

La politique de produit dans l’infoprenariat

Je ne peux pas parler d’infoprenariat sans aborder la politique de produit. C’est tout simplement la stratégie de pricing, le packaging et le positionnement de ta formation. Il y a un vrai travail psychologique derrière. Certains vont préférer vendre un cours pas cher (7 €) pour toucher un public très large, puis proposer un accompagnement premium à plusieurs centaines d’euros en upsell. D’autres vont directement cibler un positionnement haut de gamme en vendant une seule formation, très complète, à plus de 1000 €.

Dans mes débuts, j’ai essayé de tout faire en même temps, et je me suis perdu. Mon conseil : commence par une offre claire et unique, teste le marché, valide ta valeur ajoutée. Ensuite, tu pourras créer des modules additionnels, des coachings individuels, des séminaires ou même des conférences infoprenariat si tu as envie d’aller plus loin. Pense toujours à la logique d’évolution pour ton client. Il part de tel point A et veut arriver à tel point B. Quelles étapes intermédiaires ? Quelles solutions complémentaires ? Plus tu es précis, plus tu vends.

Comment surmonter l’objection « c’est trop cher »

Tu vas forcément rencontrer des gens qui te diront : « Ta formation est trop chère, j’ai vu moins cher ailleurs ! ». C’est inévitable. Que faire ? La solution, c’est de montrer la valeur plutôt que de la justifier. Donne des exemples concrets de résultats, mets en avant des témoignages, explique les bénéfices en détail. J’ai remarqué que plus je donnais un avant-goût de ma formation (extraits vidéo, PDF d’introduction), plus les gens avaient envie d’acheter, car ils voyaient immédiatement la qualité et l’impact potentiel.

Pense aussi à la garantie “satisfait ou remboursé”, ça rassure beaucoup. Et si vraiment on te reproche le prix, demande-toi si tu cibles la bonne audience. Parfois, on veut vendre un produit premium à un public étudiant fauché, et ça coince. D’où l’importance de segmenter ton marché. Tu peux proposer une offre pour les petits budgets et une autre pour ceux qui veulent un accompagnement plus poussé. Note : Il n’y a pas de honte à proposer plusieurs formules, à condition de rester cohérent dans ton branding.

Sur quoi me former pour démarrer ?

Si tu n’as pas encore de compétences super précises, ou si tu as la peur de la technique, tu peux d’abord te former auprès d’autres infopreneurs. Il y a plein de formations pour apprendre l’infoprenariat en ligne. Les meilleures te guident pas à pas. Par exemple, tu peux trouver des infos sur infoprenariat.fr ou suivre des mentors comme Russell Brunson (même si c’est surtout en anglais). L’objectif, c’est de maîtriser les bases : création de contenu, copywriting, email marketing, etc. Ensuite, tu peux aussi lire des livres. Tim Ferriss, jeff Walker infoprenariat, David Jay… Leurs ouvrages regorgent de conseils pratiques.

Ne néglige pas les forums infoprenariat english ou en français. Il y a souvent des discussions intéressantes où des passionnés partagent leurs expériences. Moi, c’est comme ça que j’ai amélioré ma manière de structurer mes formations. Tu veux un truc encore plus direct ? Trouve un coach infoprenariat. Alors oui, ça peut coûter un certain prix, mais le gain de temps et la réduction d’erreurs valent largement l’investissement. Personnellement, j’ai rejoint un mastermind d’infopreneurs il y a deux ans, et ça m’a permis de passer un cap énorme en quelques mois seulement.

Mes pires galères et comment je m’en suis sorti

Je ne veux pas te vendre du rêve sans parler des moments difficiles. Parce que dans l’infoprenariat, il y a des périodes de doute. Par exemple, je me rappelle avoir investi plus de 2000 € dans une pub Facebook mal ciblée, et je n’ai vendu que deux formations à 97 €. Mal au portefeuille ? Oh oui, j’ai cru tout abandonner.

Puis j’ai réalisé que c’était un problème de ciblage et de positionnement. Je me suis formé sur le marketing Facebook, j’ai revu mes visuels, mon angle, et j’ai retenté le coup. Cette fois, j’ai fait 30 ventes dès le premier jour. Pareil pour la declaration URSSAF. J’ai un peu galéré à comprendre la paperasse, j’ai accumulé du retard, ce qui m’a valu une lettre de rappel salée. Mon astuce a été de prendre un rendez-vous chez un expert comptable spécialisé dans l’infoprenariat. J’ai payé sa prestation, mais il m’a sorti d’un sacré pétrin. Tu vois, même quand on a l’impression de tout planter, il y a toujours des solutions. La persévérance, c’est le maître-mot dans ce secteur.

Une astuce que j’aurais aimé connaître dès le début

Tu connais l’expression “Done is better than perfect” ? Elle s’applique parfaitement à l’infoprenariat. Au lieu d’attendre d’avoir la formation du siècle, lance d’abord une version bêta, reçois des feedbacks, et améliore-la. J’ai perdu des mois à peaufiner des détails qui n’avaient pas tant d’importance. Le risque, c’est de ne jamais se lancer ou de rater le moment opportun. Alors, propose un tarif préférentiel pour tes premiers bêta-testeurs, demande-leur un feedback sincère et, surtout, des témoignages.

Ces témoignages te serviront comme preuve sociale pour attirer de nouveaux clients. C’est exactement ce que font tous les gros noms du marché de l’infoprenariat en France ou aux USA. Crois-moi, c’est un gain de temps et d’argent énorme de procéder ainsi. Et puis, c’est gratifiant de voir que les élèves t’aident à peaufiner un meilleur produit.

Le mot de la fin pour passer à l’action

Si tu es arrivé jusqu’ici, c’est que tu es clairement intéressé par l’infoprenariat. Tu as vu que ce n’est pas un mythe ni une arnaque : c’est un vrai business model qui demande de la rigueur, de la créativité et surtout de l’action. Et c’est ça le plus important. Ne laisse pas la peur ou l’excuse du “je ne suis pas un expert” t’empêcher de commencer.

Dis-toi que tant que tu as une connaissance plus avancée que la moyenne dans un domaine, tu peux aider d’autres personnes. Fais un plan, choisis un thème, enregistre un petit module, et fais-le tester à ton entourage. Ensuite, vends-le sur une petite plateforme ou via un groupe Facebook pour te rôder. Lance-toi, car tu ne sauras jamais ce que ça vaut tant que tu resteras à la phase de réflexion. Honnêtement, je regrette juste de ne pas avoir commencé plus tôt. Allez, prends ta décision aujourd’hui et enclenche la première vitesse. Moi, je t’encourage de tout mon cœur, parce que je sais combien ce secteur peut changer une vie.

FAQ sur l’infoprenariat

Qu’est-ce que l’infoprenariat au juste ?

Pour faire simple, c’est le fait de vendre des informations (formations, ebooks, coachings) basées sur tes connaissances. Cela englobe la création et la commercialisation de tout produit digital destiné à résoudre un problème ou répondre à un besoin.

Comment choisir la meilleure niche ?

La meilleure niche est celle où tu te sens à l’aise et où il existe déjà un public prêt à acheter une solution. Vérifie l’intérêt des gens sur les forums, les blogs et les réseaux sociaux. Ensuite, assure-toi de pouvoir y apporter ta touche unique pour te différencier.

Dois-je forcément apparaître en vidéo ?

Non, ce n’est pas obligatoire. Certains infopreneurs réussissent très bien avec des ebooks ou de l’audio uniquement. Mais la vidéo crée souvent un lien plus fort avec tes clients, car ils voient ton visage et entendent ta voix.

Comment fixer le prix de ma formation ?

Prends en compte la valeur perçue, la concurrence et ta propre crédibilité. Tu peux commencer avec un tarif de lancement abordable, puis augmenter progressivement au fur et à mesure que tu améliores la formation et gagnes en notoriété.

Absolument. Il suffit de déclarer tes revenus comme pour n’importe quelle autre activité. En France, tu peux opter pour le statut de micro-entrepreneur ou créer une société. Au besoin, fais-toi accompagner par un expert comptable spécialisé dans l’infoprenariat pour être tranquille.

Y a-t-il un risque de saturation du marché ?

Le marché de l’infoprenariat se développe, mais il n’est pas saturé tant que tu apportes une valeur ajoutée réelle et un angle unique. Chaque formateur a sa personnalité et sa méthode. Si tu apportes quelque chose de différent, tu trouveras ton public.

Puis-je vendre à l’international ?

Oui, si tu maîtrises l’anglais, tu peux t’adresser à un marché bien plus vaste. Certaines plateformes comme Teachable ou Podia sont d’ailleurs idéales pour ça. Pense simplement aux différences culturelles et aux particularités de chaque pays.

Faut-il impérativement faire de la publicité payante ?

Pas forcément. Tu peux commencer avec une audience organique (blog, YouTube, Instagram…), surtout si tu offres du contenu pertinent. La pub payante te fera gagner du temps, mais elle n’est pas obligatoire pour un premier lancement.

Comment gérer les remboursements ou les clients mécontents ?

Propose une garantie “satisfait ou remboursé” pendant une période donnée. Cela rassure les acheteurs. Pour les clients mécontents, prends le temps de comprendre leurs objections et d’améliorer ta formation si besoin. Le service client est crucial pour ta réputation.

Quelle est la différence entre infoprenariat et e-commerce ?

L’infoprenariat repose sur la vente de produits digitaux immatériels (formations, ebooks, etc.), tandis que l’e-commerce vend des produits physiques. Cependant, les deux peuvent se combiner à merveille (dropshipping augmenté, affiliation, etc.) pour diversifier tes revenus.

Aimez-vous ce blog ?

Cliquez sur 5 étoiles pour noter !

Note moyenne 4.7 / 5. Nombre de votes 1199

Soyez la/le premier(e) à voter

Si vous avez trouvé ce post utile...

Suivez nous sur les réseaux sociaux

Partagez votre amour
Business Dynamite

Business Dynamite

Articles: 1168

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *